C’est par des moments de tristesse et de doutes, de peurs et de troubles que l’on a besoin de lumière. Et c’est après la souffrance et l’ennui, après la décadence et la pluie, que le soleil apparaît, que la renaissance et la certitude s’installent, que la bonne humeur et la joie rayonnent.

Quand le soleil passe par la fenêtre, il illumine l’être au cœur ouvert, pour accueillir, sourire pleinement et sincèrement à cette chaleur familière. 

L’être soucieux, souhaite entretenir et préserver dans sa mémoire cette énergie sacrée. Puis, cet être bienveillant illumine à son tour ceux qui l’approche, tel un astre qui apparaît le matin, monte à son zénith pour ensuite s’éteindre.

Symbole du pouvoir pour la plupart des mythologies, le soleil est aussi, dans beaucoup de culture, assimilé à la lumière de la connaissance, au chemin de la connaissance.

Cette étoile divine, est une invitation à percevoir la réalité, à sentir et à écouter, à prendre le temps de connaître, à tenter de comprendre. Cet astre nous guide avec et vers une régularité, et avec une quantité d’énergie sans laquelle la vie n’existerait pas. 

Sa forme englobante évoque l’amour, une autre forme d’énergie qui embrasse toute chose sur terre. Qui provoque le lien, la chaleur et le bonheur entre les êtres. 

Comment pourrions-nous nous passer de cette source de vie, et de bonheur ? Comment appréhender les instants de la vie sans lumière ? Comment ne pas être heureux quand le soleil apparaît par la fenêtre ?